Joëlle : auteure du livre "Conscience fertile, (sur Amazon & en cadeau de bienvenue)  et  formatrice Bonhomme-vert

Mon parcours :

Joëlle Giusti est infirmière organique, après avoir étudié le droit (Master Paris II) et le Yoga à la Fédération Française de Hatha Yoga.

Rattachée au milieu hospitalier. vers 28 ans elle découvre la médecine préventive.

Elle élargit aussi sa culture catholique, pour prendre ce qu'il y a de bon dans chaque tradition spirituelle. Elle aime citer Annick de Souzenelle, qui expérimente les racines terre et ciel pour une incarnation totale et vivante !

"C'est dans mon jardin floral et potager et dans ma forêt, à l'ombre des futaies dans la grâce et la plénitude des ambiances d'humus teintées de vert, que je me nourris de réalités poétiques et aussi de l'écriture, pour dire la beauté et la vérité de la vie, lorsque les sens s'éveillent et que la générosité de la nature agit sur l'âme et le coeur.

AUTRES OUVRAGES : Poèmes, pièces de théâtre, scénario de film, essai romancé, livres

J'étais :   

Enfant de la pleine nature, née au pied du Mont-Blanc, remplie de vitalité, émerveillée par le spectacle infini des montagnes et la variété des saisons, avide de pureté. J'ai quitté cette pépite pour des études longues en grande ville, où mes habitudes de ressourcement et d'épuration des toxiques ont été chamboulées. Mon alimentation en tant qu'étudiante n'était pas non plus fameuse, et j'ai expérimenté la dualité et le doute intérieur. Ma vie sociale loin de ma famille et la réalité d'un décors urbain, me faisaient prendre conscience de l'illusion d'un monde coupé de la vraie vie et des grands espaces authentiques.

En master droit, on bachote, et on veut se faire une place dorée, on discute politique, ce qui ne nourrissait pas mes besoins de justice consciente  et de poésie. Je me sentais idéaliste, mais j'avais aussi la sensation d'être jugée trop conformiste par rapport à un milieu de gens branchés et d'artistes que je fréquentais. Et pourtant, moi qui venais d'un milieu chrétien et simple, j'ai beaucoup reçu de ce petit groupe féru de jogging et de Yoga, pas trop ascètes quand même, et je l'en remercie. J'ai pris conscience que l'esprit pouvait nous emmener dans des sphères agréables pour peu que l'on ouvre ses sens, et que l'on se contente de méditer et de bien respirer... pourtant le bonheur n'était pas vraiment présent, un décalage peut-être entre les espérances, les rêves, et le potentiel réel, un manque de confiance en soi grandissant ! Il me manquait aussi quelque chose, paralysée par des activités trop ciblées sur les études, non consciente que l'hyperactivité était ma tasse de thé  !

La nature et la bienveillance familiale devaient me révéler ma personnalité et m'aligner avec mon potentiel donné par la vie ! Je me suis mariée avec une personne citadine mais proche de la nature, plantant des arbres depuis l'enfance, plus de 3000, Nous avons viabilisé une bergerie non loin de la forêt de Fontainebleau connue pour ses rochers d'escalade. Nous nous sommes amusés à faire du jardin potager et floral et avons regardé grandir nos trois enfants, surtout dans le petit bois dont nous avions fait l'acquisition pour un mode de chauffage naturel. J'avais aussi renoué avec mes origines spirituelles et vivais une harmonie corps-âme-esprit-et coeur ! 

Une réorientation vers la santé où je travaillais comme infirmière, me faisait aussi prendre conscience des limites de la médecine lorsque le stress et ses hormones néfastes était la cause de dysfonctionnements cardiaques et rénaux ou que la malbouffe cachait le diabète. Et lorsque je pris en charge une patiente atteinte d'un cancer du foi et anxieuse à l'idée de l'avenir de sa petite fille, je sentis s'éveiller en moi un appel à la médecine préventive afin de ne jamais en arriver à ce stade ultime de la maladie irréversible.

Aussi je m'éloignais du milieu hospitalier, pour aborder celui de l'éducation où j'ai été quelque temps enseignante des écoles. Très tôt il fallait apprendre comment se maintenir en santé, pour profiter de la vie ! La nature et ses bases comme l'air, l'eau, le feu, la terre a toujours fasciné les enfants, pour peu qu'on rende l'apprentissage actif, et j'adorais voir mes élèves enrichir le tableau de vie avec des collages de petits éléments glanés dans la nature et symbolisant ces principes vivant !  Et ces enfants, je les comparais à de la nature, ils avaient eux aussi leur spécificité, et il m'apparaissait bénéfique de la respecter. En séance de motricité, il était clair qu'il ne fallait pas empêcher un corps vaillant de vivre sa vitalité, tout comme imposer à un corps léthargique des mouvements indus n'était pas favorable à son équilibre !

Et puis ça été la révélation sur le plan alimentaire grâce au potager, et à l'excellente nourriture saine de ma belle-mère -maîtresse es potager -et qui me rappelait les souvenirs de mon enfance avec mon père cueillant pour sa famille des salades et des haricots verts tendres et frais venus de son jardin de montagne. Je ressentais le lien entre l'énergie et les vitamines et minéraux organiques que notre corps reçoit, même si le mental est capable de s'activer en puisant ses ressources dans la motivation. il n'empêche qu'à un moment ou l'autre la source de l'influx nerveux se tarit,  si le corps est mal nourri, avec des aliments trop gras, dévitaminés, n'arrivant plus à stimuler l'étincelle de vie. La dépression, le refus de vivre ou l'envie de se détruire par le vide comme dans l'anorexie ou par le plein comme dans la boulimie, me semblait pouvoir être adoucis par un travail de réconciliation avec l'alimentaire. Et le soin que je mettais à confectionner des recettes savoureuses et bénéfiques pour la santé me paraissait une revanche sur ces souffrances humaines oscillant entre le "goût" et le dégoût, entre "l'appétit" de vivre ou pas !  

 

En quête de : 

Justice, peut-être en rapport avec mon nom de jeune fille Giusti, j'ai vite compris et aussi en lisant Platon "le Théétète" que les rapports harmonieux étaient la plus belle chose possible dans une vie ! Sensible au message christique originel d'amour, de pardon et de services, et non pas à celui du dogme et de la culpabilité que l'église n'a pas su enseigner, je voulais, je rêvais de trouver une méthode simple du bonheur pour tous et pour soi.

Les beaux paysages, l'absence de conflits entre les uns et les autres ou de soucis de santé pour s'amuser et profiter de la vie, l'art de bien cuisiner et de profiter des produits de la terre, de les déguster et de se dépenser pour équilibrer nos calories, tout cela me paraissait fondamental, et pourtant c'était la souffrance humaine qui me permettait de progresser et d'affiner ma pédagogie active et subtile pour protéger le coeur de l'humain, organe réceptacle de toutes les émotions. Le présent pouvait faire mal, et l'imaginaire aidait à faire avec tous les rythmes de vie, du plus dense au plus létal, mais parfois rien n'y faisait et la maladie gagnait. Le mental pouvait-il alors guérir, avec une conscience fertile, c'est-à-dire une conscience ancrée dans l'invisible du vivant ? Telle était ma quête et la réponse s'affinait au fur et à mesure de mes expériences, oui cela était possible, et la tendresse était le bonus de cette réappropriation de la source de VIE infinie en lien avec le coeur !

Les injustices, les peines, les souffrances, pour les alléger, pour penser et regarder positivement la vie...  la nature et la créativité étaient nos guides car en elles se reflétait la source de VIE, au-delà du soleil, au-delà de l'oxygène et du souffle, mais bien dans l'ADN, en tant que copie d'un schéma pré-existant fournisseur et créateur de Vie ! 

Le soin de l'âme me devenait évident, et ma mère ayant été souvent alitée, m'avait ouverte aux soins du corps, prolongement extérieur de ce qui se passait dans l'âme !  Ces soins devaient se faire en symbiose ! Soigner mes enfants en mettant en avant la qualité de leur alimentation vitaminée, riche en minéraux, la qualité du sommeil régulier et du mouvement, sans soucis majeurs émotionnels, était possible et suffisant parce qu'ils recevaient de la tendresse et tout l'amour nécessaire ! Cette expérience de mère m'a ensuite permis de poser des affirmations et d'écrire sur le bonheur, avec une compilation en forme d'un essai romancé "Conscience fertile". Dans cet ouvrage de la maturité, cette simplicité à recevoir et à donner du bonheur, je la couplais à des recherches en développement personnel et christique, pour aboutir à la conclusion "en cultivant quotidiennement son jardin intérieur et en cuisinant gastronomiquement dans un esprit organique, les actes, les gestes étaient justes et simples, donc facteurs d'auto-guérison ". La dualité, la non connaissance devenaient  douces, avec cette forme d'épanouissement naturel qui rassurait, qui était la voie facile, et celle des humeurs et des envies (souvent de protestation à l'injustice) posait des questions plus difficiles !

Quand le calme dans la tempête gagnait, quand la vie l'emportait sur la destruction, quoi de plus naturel que de consigner ce modèle, et de le transmettre à mes ami(e)s, ma famille, mes proches.

Pourtant l'élévation, la révélation du coeur devait encore progresser avec un long réajustement alimentaire ! Mais c'est avec une détox entre la crise curative suivie d'une monodiète salutaire, que je me sentis vidée de mes anciennes toxines corporelles et psychiques. Je voyais, j'entendais, l' ordre des choses, le principe de vie, me montait à la tête et descendit dans le coeur pour une véritable conversion, débouchant ensuite vers une communion possible ! Il me fallait encore prendre soin de moi, me faire confiance et m'aimer d'avantage, et de cela ces dernières années en ont été les témoins ! 

 

 

Antagonismes :

Les hauts et les bas, l'action et l'inaction, l'espérance et le désespoir, le doute et l'excès de foi, l'anorexie et la boulimie, l'excès de nature ou de confinement entre 4 murs, l'excès d'apprentissage et la paresse, tout cela montrait combien je suis restée longtemps sans écouter, ni regarder les signes de Vie, ne comptant que sur mes forces naturelles. 

J'étais assez confiante dans le pouvoir naturel de régénération grâce à une vie saine. Mais était-elle si saine que cela ? L'enthousiasme, la soif de connaître, de réussir ma vie, tout cela voilait la réalité ! Je remettais à plus tard, sûre de mes choix, de mes actions,  les principes de fertilité et de vie avec du sens, reconnus comme inébranlables car calqués sur l'origine de la Vie, et tels que nous les montre la nature et tels que me les avaient enseignés les "bonnes" soeurs de l'Assomption de Saint-Gervais les Bains, à moins qu'ils n'aient été éveillés par la piété de mes grand-mères

D'un côté mes montagnes, ma famille que j'avais quittées, de l'autre ma soif de culture avec les lettres, puis le droit, gagnée par une curiosité, une découverte aléatoire par rapport à ce que je connaissais bien, mes racines, que je n'avais peut-être pas suffisamment aimées. Toutefois les lignes droites du droit, des lois, des normes, des diplômes et d'éducateurs, ne comblèrent pas mes attentes, ne me permettant pas d'expérimenter le pouvoir de la liberté et surtout de l'amour bienveillant !

D'un côté mon intérêt pour la cuisine que j'aimais pratiquer comme un loisir enfant, et pour la nutrition dont j'aurais pu faire mon métier si j'avais été bien orientée, et de l'autre un détachement pour l'acte de se nourrir, avec une standardisation de mes menus composés essentiellement de produits laitiers et de pain, qui ne nécessitaient pas de cuisine. Fallait-il s'en inquiéter, je n'en prenais que peu conscience, et du reste je conseille à mes patients de ne pas abandonner -malgré la tendance actuelle- ces sources de douceur à la blancheur immaculée, et j'explique pourquoi dans mon livre "Conscience Fertile". A cette époque, des modifications corporelles et des symptômes de douleurs digestives étaient déjà bien présents même si le gastro, ami d'une amie me disait rien de grave ! C'est la rencontre avec un médecin généraliste-homéopathe proche de mon domicile dont j'avais vu le nom dans une brochure de la Fédération Française de Yoga qui me fît prendre conscience de mes antagonismes peu fertiles. Peut-être pratiquait-il même l'hypnose active, mais pas besoin d'expliquer comment je m'en suis aperçue, ce qui compte c'est qu'il m'a guérie et permis d'évacuer toutes ces toxines de non vie ! 

Avec la guérison, j'ai pu sortir du négatif, et dire oui à ma moitié, qui me rappelait mon père, laissant ainsi remonter les souvenirs de mon père habile de ses mains, ou paisible cultivant son petit potager de montagne et bêchant la parcelle de sa mère pour qu'elle n'ait qu'à semer, ou lui cueillant les fruits de son cerisier ou de son poirier. Les souvenirs incrustés dans le nerf optique, des moments de grandes ballades dans les montagnes, et des paysages de neige où les cristaux amplifiaient la lumière sont également apparus comme uniques et d'un autre monde, en lien avec mon nouveau genre de vie !

Pourtant il faut du temps pour que les antagonismes vous lâchent vraiment ! Malgré ma nouvelle ouverture, le renouveau de mon goût pour les textes sacrés et la prière et ma réussite familiale, je ne trouvais pas ma voie professionnellement et m'engageais dans le monde associatif, avec une belle expérience en création de jardins partagés urbains, et une galerie d'art pour tous. Les expériences étaient riches mais la dispersion aussi ! 

Mais cette expérience liée à mon baptême, ou à ma nouvelle alimentation donnée par mon médecin, faisait son chemin et trouva son apothéose, avec l'arrivée de la bienveillance, de la conversion progressive de l'égo, et de l'esprit de discrimination et de Vie qui me conseillait face à la panoplie d'émotions négatives qui vont avec. Tourner ma vie vraiment vers le don de soi, pour aider les autres dans leur corps, leur mental et leur âme. semblait être l'aboutissement et le tenant étant la solidité de ma vie de famille !

 

J'en suis arrivée : 

A partir de là, j'en suis arrivée, à vouloir transmettre ce que j'avais reçu, 

L'urgence d'exprimer sous forme d'essai romancé tout ce ressenti montant -mais étant peu dotée en style et en pensées profondes, je pense encore aujourd'hui que je dois toutes mes phrases à la voix non pas intérieure mais extérieure qui m'inspirait et que les chrétiens appellent Esprit Saint, ami consolateur et conseiller - m'a pourtant demandé 21 ans, entre les premières révélations et l'équilibre plus accompli de ma personnalité, pour produire 12 chapîtres d'accompagnement par une fiction sur la voie du bonheur et de l'exode urbain !

J'y ai fait le portrait d'une femme neuve, scientifique rationnelle, épanouie suite à son exode urbain, qui vit une histoire forte avec son compagnon qui l'amène à l'état de communion et de conscience fertile ». Elle s'est connectée à ses origines, a reçu le plus cadeau de VIE.
La conséquence de cette nouvelle fertilité, comme dit si bien Annick de Souzenelle en est une harmonisation entre nos racines terre et ciel  ! 

Toutefois un doute lié à la légitimité de mon témoignage m'a assailli !

Comme tout figurait dans les textes sacrés, je n'osais pas présenter une forme romancée pour dire ce qui avait été tellement mieux écrit que par ma plume. Egalement l'approche yogique voire en New-Age que j'aimerais ici aussi faire évoluer en Futur-Age en gardant les principes de "Bienveillance" de "Gratitude",  devait-elle figurer dans cet essai romancé ? L'église doit-elle passer et renaître dans l'Ecclésia Ecologica avec comme fondamental "l'Amour du prochain et de notre terre, grâce à une conscience fertile enseignée dès l'école, pour que la communauté mondiale réponde au nom d'Amis, de POTES" ? 

Avec les évènements du COVID, des scandales de l'église et la menace de guerre, et maintenant les étés meurtriers, j'ai su que tout ce que j'avais anticipé en fiction arrivait bien, mettant mon livre au coeur de la situation écologique et sociale actuelle ! De plus un évêque sympathique, qui avait soutenu les minorités LGBT m'avait encouragé dans mon travail !

A ce stade de ma vie, j'ai rencontré des personnes qui étaient au même stade de développement que moi, et qui avaient créé leur pédagogie organique, et j'ai compris qu'un monde nouveau se levait avec ses disciples, et qu'il ne fallait pas se cacher et ignorer nos origines, tout en continuant à honorer nos engagements terrestres et à vivre humblement, pour moi dans la vie ordinaire mais ô combien subtile d'un mariage réussi !

J'ai essayé aussi de me rapprocher des politiques, pas par nostalgie de mes expériences en étudiante en droit, mais par nécessité d'ancrer dans la société des visions plus éthiques pour ne pas dire spirituelles ! Mais vous vous doutez que de tels égos n'ont pas l'esprit POTES, ni le Temps, ni l'Espace, ni le Sens et encore moins l'Organique, même chez les écologistes!

Alors je me suis tournée vers ma famille de coeur, les gardiens en santé naturelle, les infirmières sensibles à la souffrance, Delphine Dimanche et sa méthode en santé naturelle connectée explique bien ces principes, même si il faut y aller doucement, connaître ses limites surtout dans le cru ! Je pense que même sans force ni lois, nous pouvons faire beaucoup pour alléger les souffrances humaines, liées à l'ignorance de son être et apaiser  les conflits entre les médecines dites préventives et curatives !

Je passe beaucoup de temps aussi dans mon jardin floral, et si il y a une vie après la mort dans un lieu paradisiaque, je demande au créateur (s'il m' entend) de me faire visiter son jardin d'Eden avec ses saints jardiniers ! Je pense que la guerre et la dualité n'ont pas lieu d'être, et que la connaissance ne doit se justifier que pour sanctifier notre âme. Mais n'attendons pas une éventuelle résurrection, pour vivre comme cela, faisons le ! 

Ma quête actuelle fait tout pour que chacun réalise sa voie, - pour moi celle du renouveau de villages abandonnés -, et puisse se préparer à la vie juste et sanctifiante, faîte de beauté, de bonté et de vérités, dans l'humilité et le pardon pour que les vibrations restent aussi désirables et exceptionnelles que possible !

Aussi je mets toute mon énergie dans non pas ce « nouveau » projet car il a toujours été en moi guidée par l'esprit et les anges de vie, mais dans la communication et la prise de conscience pour une réalité durable du bénéfice de ce mode de vie pour une  « Conscience Fertile », au service de l'écologie du Futur "l'Ecclésia Ecologica" !

Ecclésia : sens premier du terme : assemblée de gens

Le coaching Bonhomme-vert s'adresse plus spécifiquement aux profils hypo- hyperactifs, hypo- hypersensibles, hypo- hyperéalistes, avec des troubles de dépression et de l'humeur, de diarrhée-constipation, de tendinites et spasmes musculaires, de psoriasis et d'acné, de gorge et d'asthme, de sommeil et de terreurs nocturnes, de peur de l'abandon, de règles et de prostate, de mémoire et de concentration, de sueurs et d'élimination des urines et des toxines.